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Intervenant

image : Pauly

Pauly Geoffrey

Agrégé de lettres modernes et docteur en littérature

Activités actuelles :

Professeur de français au lycée Marey (Beaune).
Traduction de poésie anglaise et américaine.

Diplômes :

- Doctorat en littérature française ; félicitations du jury à l’unanimité.
- Agrégation externe de Lettres modernes (2016) (30ème)
- Master de Lettres modernes, parcours recherche, mention TB (2014)
- Master LLCE Anglais, parcours recherche, mention B (2014)
- Licence de Lettres modernes (2012)
- Licence LLCE Anglais (2012)
- DU Histoire (2011)

Dernières publications :

2022 : Publication de l’article « La revue de poésie dans la seconde moitié du XXe siècle : de l’expression de la colère à la "rage de l’expression" » dans Genres et formes poétiques de la colère, sous la direction d’Hélène Vial.

2022 : Publication de l’article « Le poète comme cortège de voix : écrire et réciter la poésie dans l’œuvre de Jacques Roubaud » dans « Plurivocalité et polyphonies, une voie vers la modernité ? », sous la direction de Raphaèle Audoubert.

2021 : Publication de l’article « Labyrinthe de labyrinthes : l’art de l’enquête comme poursuite de l’œuvre perecquienne dans l’Ouvroir de Littérature Potentielle » dans la revue Intercripol, n°2 « Contre-enquêtes sur Georges Perec ».



Ses interventions :

La fiction romanesque, : du mensonge à la magie

Conférence, le jeudi 23 janvier 2025
image : La fiction romanesque, : du mensonge à la magie

La poésie est-elle toujours belle ?

Conférence, le jeudi 7 décembre 2023

La beauté est revendiquée depuis l’Antiquité comme l’un des enjeux de la poésie. Elle a pu, historiquement, en constituer la définition de manière absolue. La contemporanéité est pourtant marquée par une disparition progressive de la revendication de l’enjeu. Loin de lutter contre elle ou de rechercher son contraire comme certains illustres prédécesseurs, les poètes de la seconde moitié du XXe siècle semblent abandonner le terme qui se fait plus rare après les années 1960. Mais cela signifie-t-il que la beauté ait cessé d’être, pour reprendre le mot de Malherbe, le beau souci du poète ?

Corpus privilégié :

Jacques Roubaud, Quelque chose noir, 1985.
Emmanuel Hocquard, Méditations photographiques sur l’idée simple de nudité, 2009.
Liliane Giraudon, Jean-Jacques Viton, Fred Deluy, A3, 2009.

image : La poésie est-elle toujours belle ?

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